Il n'existe pas de coussin aussi confortable qu'une conscience tranquille
Rédigé et vérifié par Psychologue Raquel Aldana
Avoir une conscience emplie de bonnes pensées, de bonnes intentions et de bonnes actions, nous permet de dormir tranquille.
De leur côté, la jalousie, la colère, le mensonge et la tromperie sont sans aucun doute, les plus grands voleurs de beaux rêves et de bonnes émotions.
Profitez du fait d’avoir la conscience tranquille, car avoir la conscience tranquille, c’est comme disposer d’une bonne boussole qui nous aide à garder le nord.
Autrement dit, si on utilise à bon escient notre capacité de décision, on sera plus à même de maintenir un bon rythme de vie.
S’il est vrai qu’il n’est pas toujours facile d’avoir la conscience tranquille à 100%, on peut s’efforcer d’agir de façon cohérente, en accord avec nos valeurs. On doit éviter d’entrer en conflit avec nos intérêts ou autres désirs, ce qui peut se révéler plus ou moins facile à faire, en fonction des personnes qui nous entourent.
Eloignez-vous de la négativité de certaines personnes, et conservez votre intégrité
Il y a des personnes qui semblent nous aider, mais qui font tout pour nous mettre des bâtons dans les roues.
D’autres sont spécialistes dès lors qu’il s’agit de nous faire du mal, de nous faire culpabiliser, de nous faire croire que l’on a un comportement égoïste.
En ce sens, ces personnes ne nous apportent rien de positif, ni à nous, ni à notre conscience ; elles nous empêchent de continuer à vivre normalement et à bien dormir.
Dans ce cas-là, il est important que l’on valorise nos relations et que l’on identifie quelles sont les conséquences de nos sentiments, en faisant tout particulièrement attention à bien équilibrer la balance.
Le plaisir de dormir avec la conscience tranquille
Il arrive parfois que les autres se comportent mal avec nous, mais rien ne sert de leur rendre la pareille. En adoptant une telle attitude, on ne ferait alors qu’alimenter le chaos et la décadence émotionnelle.
En d’autres termes, si notre philosophie, c’est “oeil pour oeil, dent pour dent”, alors le monde demeurera aveugle.
Commettre des erreurs et mal agir dans l’intention de faire du mal, ce n’est pas la même chose. Nous nous devons de différencier ces deux concepts.
Parfois, lorsque l’on fait des gaffes, cela peut nous rendre honteux ou nous attrister alors même que l’on n’a pas à se sentir coupable.
Ainsi, quand certaines personnes échouent malgré leurs bonnes intentions, nous ne devons pas les punir pour autant, mais plutôt les aider à reprendre confiance en elles.
Ainsi, notre conscience envahit chaque espace de notre vie, et on peut prendre soin de toutes les situations ou de tous les moments, aussi compliqué que cela puisse paraître.
Le monde a besoin d’exemples, pas d’opinions
Souvent, ce n’est pas tant ce que font les gens qui compte, mais plutôt ce qu’ils ne font ou ne ressentent pas.
Nous avons tendance à toujours chercher à nous justifier par des mots que l’on essaie de gonfler de significations toutes aussi insensées les unes que les autres, en faisant en sorte que nos opinions soient non seulement vides, mais également obscurcies.
Autrement dit, rien ne sert d’essayer de prêcher des valeurs telles que l’humilité ou la sincérité, car ce que nous devons faire, c’est abandonner ces comportements hautains, faux ou hypocrites.
Evidemment, pour se protéger de la frustration, il peut être utile de se cacher derrière les mots, mais cela ne nous libère pas de la réalité de nos mauvaises actions.
Lorsque l’on se justifie alors que l’on ne nous a demandé aucune explication, c’est qu’on a quelque chose à se reprocher.
En effet, si on y réfléchit bien, la faute ne doit pas nécessairement être réelle pour parvenir à nous tourmenter ; il suffit que l’on se sente responsable de ce qu’il s’est passé.
Ainsi, pour nous libérer, il est aussi nécessaire que l’on travaille sur nous afin de nous pardonner à nous-même tout ce que l’on a pu faire ou ne pas faire, tout ce que l’on a pu ressentir ou ne plus ressentir.
Nous ne sommes pas en mesure de régler tous les problèmes qui se posent dans le monde, ni même dans notre vie. Cependant, les bonnes intentions sont des grains de sable qui nous aideront à garder l’équilibre émotionnel dont on a besoin.
Toutes les sources citées ont été examinées en profondeur par notre équipe pour garantir leur qualité, leur fiabilité, leur actualité et leur validité. La bibliographie de cet article a été considérée comme fiable et précise sur le plan académique ou scientifique
- Durkheim, É. (2002). La educación moral. Ediciones Morata.
- Stamateas, B. (2014). Más gente tóxica. B DE BOOKS.
- Vargas, J. E. V. (2009). Formación de la conciencia moral: referentes conceptuales. Revista Educación y desarrollo social, 3(1), 108-128.
Ce texte est fourni à des fins d'information uniquement et ne remplace pas la consultation d'un professionnel. En cas de doute, consultez votre spécialiste.