Quand nous arrivons à cette rivière, nous traverserons ce pont
Cette phrase de l’empereur Jules César illustre simplement la nécessité pour nous d’apprendre à vivre le moment présent.
Combien de fois, devant une situation conflictuelle, nous avons tendance à anticiper les événements sans prendre en compte qu’il existe d’autres possibilités?
Le pire, c’est que l’histoire que nous gardons en mémoire est à coup sûr, la plus négative de toutes les options et nous y croyons dur comme fer, en souffrant ainsi toute la charge émotionnelle qu’elle implique, sans pour autant s’être produite dans la réalité.
Pour tout cela, il serait souhaitable pour nous de réaliser à quel moment nous sommes en train de “mettre la charrue avant les boeufs”.
La question est de savoir si ce que nous pensons va vraiment se passer ainsi ou s’il peut y avoir d’autres options.
De cette façon, nous serons en mesure de ne pas rester paralysé sur une possibilité unique avec généralement peu de chances qu’elle se produise telle que nous l’avons pensée.
Devant n’importe quel événement de notre vie, nous nous trouvons face à deux possibilités ; soit qu’il se développe de façon positive (50%) soit qu’il évolue de manière négative (50%).
Par conséquent, quelle nécessité avons-nous d’aborder de façon plus intensive l’option qui nous produit le plus de dommages psychologiques?
Dans ma propre expérience, j’ai appris à m’accrocher à cette phrase pour freiner ma tendance à anticiper les événements.
Nous souhaitons que pour vous aussi, cette réflexion soit utile!
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